Après avoir traversé le désert
sous un brulant soleil amer,
nousnous retrouvons dans cette oasis,
havre de paix et de douceur de la vie.
Le sang me monte aux tempes
me glissant dans un tourbillon de lampes
aux mille et une lumières
déchirant mes globes occulaires.
Comment ai-je survécu si longtemps
sans ton doux sourire désarmant,
sans tes lentes carresses enivrantes
sur ma peau chaude et tremblante.
Ton regard de braise m’a bousculé
dans un monde magique sans fée
juste toi et moi,juste le prince et la princesse
qui s’aiment jusqu’à l’ivresse.
fey